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Disques

Robot Bob ; Les Femmes sauvages (1976)

Disque 45 T (SP 2 titres)

 

Auteurs compositeurs : Gudule – Jean-Manuel Vérigneaux (arrgts. Raymond Gimenez)

Label : Vogue

Référence : 45V14121

 

Contient :

  • Face A- Robot Bob (Gudule - Jean-Manuel Vérigneaux) (2 m 38 s) ;

  • Face B- Les Femmes sauvages (Gudule - Jean-Manuel Vérigneaux).

Histoire ridicule ; Sois cool Raoul (1977)

Disque 45 T (SP 2 titres)

 

Auteurs compositeurs : Gudule – Jean-Manuel Vérigneaux

Pochette : photogr. Pascal Carqueville

Label : Vogue

Référence : 45V140204

Éditions Alpha

 

Contient :

  • Face A- Histoire ridicule (Jean-Manuel Vérigneaux - Gudule) (3 m 22 s) ;

  • Face B- Sois cool Raoul (Jean-Manuel Vérigneaux).

Voir le site bide & musique pour lire les paroles et écouter les chansons.

Traduction

RÉFÉRENCES 2È ÉDITION

Éditeur : Bragelonne

Collection "Anniversaire 10 ans"

Date de parution : 17/06/2015

Format : 137 p., 15x23 cm.

ISBN 978-2-35294-864-3

EAN 9782352948643

Prix : 10 €

RÉFÉRENCES 1ÈRE ÉDITION

Éditeur : Bragelonne

Date de parution : 26/10/2006

Format : 144 p., 14x21 cm.

Relié avec jaquette

ISBN 2-35294-007-9

EAN 9782352940074

Prix : 15,30 €

Tous malades ! : un recueil de sales poèmes 

Traduction de : Now We Are Sick: An Anthology of Nasty Verse (1991)

 

Sous la direction de Neil Gaiman & Stephen Jones ; traduit de l'anglais (Grande-Bretagne) par Alain Nevant et Gudule.

 
Illustrations de Boulet, Reno & Mélaka.
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PRÉSENTATION
 
Neil Gaiman et Stephen Jones ont réuni dans cette anthologie une trentaine de poèmes humoristiques et effrayants écrits par les plus grands maîtres de l’horreur, de la fantasy et de science-fiction anglo-saxonne.
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Dans la plus grande tradition des comptines d’enfants, Brian Aldiss, Sharon Baker, Robert Bloch, Ramsey Campbell, Simon Ian Childer, Storm Constantine, Galad Elflandsson, Jo Fletcher, John M. Ford, Stephen Gallagher, David Garnett, John Grant, Colin Greenland, James Herbert, Richard Hill, Diana Wynne Jones, Garry Kilworth, Harry Adam Knight, R.A. Lafferty, Samatha Lee, Alan Moore, Kim Newman, Ian Pemble, Terry Pratchett, Jessica Amanda Salmonson, Jody Scott, S.P. Somtow, Alex Stewart, David Sutton et Gene Wolfe s’en donnent à cœur joie, et vous livre leurs créations les plus macabres dans l’espoir de vous faire rire.

AVIS SUR LE NET

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Imaginez que les plus grands auteurs britanniques de fantastique et de fantasy se réunissent pour composer des chansonnettes. Qu'est-ce que cela donnerait ? Quelque chose de charmant, à n'en pas douter. Quelque chose de charmant... et d'absolument horrible ! C'est ce qu'est Tous malades ! Un recueil de sales poèmes, où Neil Gaiman et Steven Jones ont réuni trente comptines qui n'ont rien d'enfantin — à moins qu'elles ne soient destinées aux enfants de la famille Adams, et encore... Trente textes en rimes et en rires, trente textes noirs, très noirs. Où il est question de fantômes, de frayeurs nocturnes, mais aussi de drogue, de sexe et de cannibalisme. Il faut lire comment Nounours viole la baby-sitter de son énorme braquemart (« Le Répondeur téléphonique » de S.P. Somtow) pour réaliser à quel point les chambres d'enfants sont pleines de dangers. Quant à l'épilogue de Robert Bloch, son seul titre, « Attention, mourir nuit gravement à votre santé et à celle de votre entourage », donne le ton de l'ouvrage.

 

N'oublions pas de saluer Gudule et Alain Névant pour leur travail de traduction vraiment réussi. À noter aussi que, Clive Barker n'ayant pas participé par l'écriture, les anthologistes l'ont obligé à illustrer certains poèmes. La version française bénéficie en outre de dessins de Boulet, Mélaka et Reno absolument « délicieux » (si l'on peut ainsi qualifier de telles petites horreurs).

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Lucie CHENU, nooSFere, 25/11/2006.

Pièce de théâtre

Les Transfuges de l'enfer /
Je ne veux pas mourir avec une culotte sale
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NOTES
 
Le titre primitif de cette pièce de théâtre de Gudule est Je ne veux pas mourir avec une culotte sale. Gudule a du changer de titre puisqu'un auteur, Léo Lamarche, le lui a volé pour une de ses nouvelles publiées dans le fanzine L’Ours polar n° 28 (2004) à l’occasion d’un concours de nouvelles. Léo Lamarche a renommé sa nouvelle : La Petite Culotte. Le titre de Gudule avait été annoncé à paraître aux éditions Le Cavalier vert, dans les listes des ouvrages du même auteur, dans les premières pages du livre de Gudule Nous ne méritons pas les chiens (Hors Commerce, 2004).
 
Il est amusant de remarquer que Gudule a signé une fausse notice biographique reproduite à la fin de deux anthologies éditées par Malpertuis : Secrets de famille et Parfums mortels. Dans cette notice, elle signale que la nouvelle Je ne veux pas mourir avec une culotte sale a remporté le prix Maëlstrom 2000.

PROJET DE COUVERTURE

EN 2004 POUR LES ÉDITIONS

LE CAVALIER VERT

(LIVRE JAMAIS PARU)

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RÉFÉRENCES 1ÈRE ÉDITION

In Les Filles mortes se ramassent au scalpel : l’intégrale des romans fantastiques vol. 2 / Gudule.

 

Éditeur : Bragelonne

Collection : "L’Ombre de Bragelonne"

Date de parution : 02/2009

Pagination : p. 663-702.

ISBN 978-2-35294-270-2

REMARQUE DE GUDULE

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Ne vous y trompez pas : ce n’est pas le titre de l’anecdote qui suit, mais bien celui d’un de mes livres. Ou, du moins, ça aurait dû l’être... Il y a une bonne dizaine d’années, j’avais, donc, écrit un roman fantastique intitulé : Je ne veux pas mourir avec une culotte sale (c’était, en fait, la première phrase du premier chapitre). Ce roman atterrit chez un petit éditeur, disparu depuis : Vert sceau*. Le livre est programmé pour la rentrée littéraire, la couverture qu’on me propose me plaît beaucoup, la typo également, bref, tout baigne. Or, les locaux de Vert sceau* sont exigus. Ils ne se composent que de deux bureaux : celui du patron, minuscule, et un grand où se trouve l’ordinateur de la maquettiste (qui est également secrétaire, correctrice et attachée de presse). C’est là qu’on reçoit les visiteurs. La fabrication des livres se fait donc, si je puis dire, au grand jour. Quelques semaines avant la sortie du roman, je reçois un e-mail d’un ami libraire qui depuis des années suit mon travail de près (et est donc au courant de mes futures parutions).

   — Sais-tu, me dit-il, qu’une nouvelle portant ton titre vient de sortir dans Pôle Art (un zine de polardeux NDLA) sous la signature d’un certain Mick Laroche*** ?

    J’en réfère illico au directeur de Vert sceau qui me dit connaître cette personne (il s’agit d’une auteure et non d’un auteur, comme son nom le laissait supposer).

    — C’est une amie de ma secrétaire. Elle a dû voir ce titre sur les projets de couverture qui traînent dans son bureau... Ce n’est pas la première fois qu’elle nous pique des idées.

    Cette affaire fait un certain bruit dans le petit milieu de l’édition parallèle. Le directeur de Pôle Art** accepte de signaler dans le numéro suivant (à paraître en décembre) que ce titre a été « emprunté » aux éditions Vert sceau*, et la coupable se fait remonter les bretelles. Ce qui ne l’empêche pas de m’envoyer, dans les jours qui suivent, un e-mail disant en substance : « Je suis la première à avoir utilisé ce titre, il est donc à moi ». Et comme je proteste, elle rétorque : « L’avez-vous déposé ? Non ? Alors tant pis pour vous », avant de conclure, avec une fort jolie mauvaise-foi : « Nous avons eu la même idée, c’est une simple coïncidence. Mais comme ma nouvelle est sortie avant votre livre, ce sera vous la plagiaire et non l’inverse. Et je peux même vous poursuivre en Justice, dates à l’appui ! »

    Mon roman n’est pas paru chez Vert sceau*, qui a déposé le bilan peu après. Il est resté dans le ventre de mon Mac jusqu’à ce que les éditions Bragelonne, des années plus tard, l’incluent dans mon recueil Les Filles mortes se ramassent au scalpel, sous le titre Les Transfuges de l’enfer, mieux adapté à la teneur de l’intrigue que son titre d’origine. Le temps des culottes sales était bel et bien révolu... 

 

Gudule, Grands Moments de solitude, 23/01/2012.

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NB : Gudule a modifié les noms. Pour la véracité des faits, je livre les noms exacts ci-dessous.

* Cavalier vert

** L’Ours polar

*** Léo Lamarche

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